Pour ceux qui tremblent quand écoutent le mot amour:

Ferme les yeux, dis moi ce que tu vois.
L'obscurité ou l'ombre d'une illusion.
Dis-moi que tu m'aimes.
Que souffrir  n'est pas la solution à tant de mal.

Parce que l'amour est un poison,
qui tue et adoucie la bouche.

  Vivre avec la sensation du
tomber  et rester assis.
C'est l'erreur de croire dans
 une fantasie.

J'ai eu la nécessité d'effacer
quand ce don on se souvient,
est oublié.
(La solitude tout l'à brûlé).

J'ai la maladie d'être comme
ceux qui insistent, quand la possibilité
est impossible.

Comme ceux qui frissonnent
quand écoutent le mot amour.
(Ceux qui se nourrisent de
l'air et expirent les mots).

Je suis aussi des ceux que
se cachent dans la
memoire d'un fantôme.

Maintenant que tout est raté,
et les rêves ont disparu.
Le télescope est cassé,
l'astronome ne te cherchera plus